La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 Péchés Chapitre 28-28.5 + INFO

Publié le 8 juin 2025 à 16:15

La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 Péchés Arthur et Suzette ainsi que Cornelius Et Vanir !!! 

Chapitre 28/70 : "Les Ombres de la Cellule Maudite"

Arthur reprit connaissance en sursaut, les yeux écarquillés, la respiration saccadée. Une puanteur atroce lui montait au nez. Un mélange de moisi, de sang sec, et d'humidité étouffante. L'air était si lourd qu'il avait l'impression de respirer à travers une éponge sale. Il se releva doucement, les jambes tremblantes, et découvrit autour de lui... l'enfer.

Des chaînes pendaient aux murs trempés de suintements verdâtres. Le sol, gluant, semblait vivre, comme s'il bougeait lentement sous ses pieds. Et dans les coins sombres, il vit des silhouettes. Des gens. Des captifs.

Il murmura pour lui-même, en frissonnant :

"Par tous les dieux... ce lieu pue la mort... Si je survis à ça, je mange mes chaussettes."

Un pas. Deux pas. Puis une voix douce mais brisée :

"T’es pas avec Jeckyll... hein ?"

Arthur leva les mains en l’air, paniqué :

"AH NON NON NON ! Moi c’est Arthur. Je viens pas pour faire du mal, ok ?! Je suis ici pour vous sortir d’ici ! Vous connaissez Lyara ? C’est elle qui m’a envoyé. Elle a réussi à s’échapper pour aller chercher du renfort."

Un silence.

Puis des regards. Méfiants. Curieux. Et une jeune femme s’approcha. Cheveux bruns sales, le corps couvert de marques et d’ecchymoses. C’était Yubel, 21 ans. Elle respirait à peine, mais son regard brûlait.

 

Yubel - "La proie dans les bois"

"Y’a trois jours... Jeckyll m’a traquée. Comme un animal. J’étais dans les bois, seule. Je rentrais du marché... Et j’ai senti quelque chose derrière moi. Il riait. Il chantait. J’ai couru. Couru jusqu’à en perdre haleine. Puis... plus rien. Un coup derrière la tête. Et je me suis réveillée ici. Attachée. Il... il m’a..."

Sa voix se brisa. Elle baissa les yeux. Arthur posa une main sur son épaule, doucement.

"Tu n’as plus à courir, Yubel. T’es plus seule. Et si je sors vivant d’ici, je promets qu’on va le faire flipper comme une vieille chaussette."

Un petit rire nerveux sortit malgré elle. Puis, au fond, un petit garçon s’approcha timidement.

 

Jixy - "Le cauchemar éveillé"

"Je... j’m’appelle Jixy. J’ai neuf ans. Une nuit... j’me sentais pas bien. Alors j’ai dit à mes parents que je voulais dormir avec eux. Et quand je suis entré dans leur chambre... ils... ils étaient morts. Et y’avait ce monsieur, Jeckyll. Il me regardait. Il souriait. J’ai pas pu crier. J’ai juste... fermé les yeux. Et je me suis réveillé ici."

Arthur sentit son ventre se tordre. Ce gosse avait vu l’horreur, la vraie. Il s’accroupit et serra Jixy contre lui.

"Je te jure sur mon slip porte-bonheur, Jixy, que tu rentreras chez toi. Et tu mangeras le plus gros gâteau au chocolat de ta vie."

Un rictus fragile naquit sur le visage du garçon.

Puis, au fond de la cellule, une silhouette se redressa lentement. Une femme d’environ 30 ans, les cheveux collés au visage par le sang séché. Ruby.

 

Ruby - "La recherchée"

"Tu as parlé de Lyara... C’est grâce à moi qu’elle a pu s’échapper. Elle était avec moi, dans cette cellule. On était amies. Et j’ai compris que si une de nous deux ne sortait pas, on finirait comme les autres. Alors j’ai piqué un bout de métal, je lui ai libéré les mains et j’ai fait diversion. J’ai gueulé, je l’ai frappé, je me suis jetée sur Jeckyll... Elle a pu courir. Moi, il m’a gardée. Il m’a... brisée. Et quand il a su qu’elle avait fui, il a crié. Hurler, comme un monstre. Il m’a traînée par les cheveux. Et ensuite... j’ai prié pour mourir."

Arthur resta muet un moment. Puis il déclara :

"Tu sais quoi ? J’ai peut-être les jambes qui tremblent, l’estomac qui veut sortir par l’arrière, et l’impression qu’un rat me mâche le mollet. MAIS. Je vous sortirai tous d’ici. Je vous le promets, même si je dois me battre avec mon slip en guise de drapeau."

Un rire. Un vrai. Pour la première fois depuis longtemps, les visages s’illuminèrent un peu.

Ruby reprit :

"Je suis recherchée dans le village... Ils ont collé des affiches partout. Une récompense pour ma tête. Parce que j’ai un artefact ultra rare... Il permet de refaire un choix. Une seule fois. 

Arthur hocha la tête. Il ne savait pas encore comment... mais il allait y arriver.

Puis il sentit une odeur. Une encore plus forte que le reste. Il se retourna et vit, au fond de la cellule, une masse accrochée au mur. Des chaînes. Un corps. Ou ce qu’il en restait.

Des morceaux de chair pourris, une odeur pestilentielle, des mouches partout.

"Bordel de... JE VAIS VOMIR !!!" cria-t-il, en mettant ses mains sur la bouche. "Pourquoi y’a toujours UN corps random qui pourrit dans un coin, sérieux ?!"

Il recula en trébuchant, manqua de tomber, puis se reprit.

"Ok... On va éviter de finir comme lui. Vous m’écoutez tous ? On va se barrer d’ici. Ensemble. Et je vous ramènerai chez vous. Ou au moins dans un endroit avec moins d’humidité et de cadavres, ok ?"

Les captifs hochèrent la tête. L’espoir, léger mais présent, venait de renaître.

 

Le chapitre 28 se termine. L’heure de la révolte approche.


Chapitre Spécial 28.5/70 : "Arthur et la chute de la honte"

La nuit était noire, comme si le ciel lui-même avait fermé les yeux.

Les arbres autour d’eux semblaient grincer sans raison, se tortillant comme des vieux crochets rouillés. Le brouillard épais rampait lentement au sol, comme une grosse crêpe vivante. Arthur regardait devant lui, pas rassuré.

— Je n’aime pas ça...

Vanir, légèrement devant, répondit sans même tourner la tête :

— On y est presque. Arrête de flipper.

Et en effet, juste devant eux, ils pouvaient enfin voir les premières maisons du village maudit. Des ruines, des murs fissurés, des lampes éteintes, et des ombres qui dansaient au rythme du vent. Mais au moment exact où Arthur franchit le seuil, le destin décida de se foutre de lui.

Un bruit. Un clac sec. Comme un mécanisme rouillé qui s’éveille.

Arthur s’arrête. « Hein ? » dit-il, les sourcils levés.

Puis en une fraction de seconde, le sol sous ses pieds se déroba.

Il n’eut même pas le temps de crier.

La dalle s’était retournée comme une crêpe, l’avalant tout cru. Une branche traînait sur le côté et arracha un bout de sa veste pendant la chute. Ce fut la seule trace qu’il laissa derrière lui.

Et pendant cette chute de l’enfer... il se passa l’impensable.

Arthur se chia dessus.

Littéralement.

Un « prout » de désespoir s’échappa de lui, suivi d’un autre, et d’un autre encore, comme un orchestre tragique qui jouait la symphonie de l’humiliation. Il dévalait un toboggan de pierre, dérapant, hurlant, glissant avec des « HAAAA », des « MAIS C’EST QUOI CE BORDEEEEL », des « MON FROOONNNNNN » et un « JE VAIS MOURIIIIIR ».

Finalement, après plusieurs secondes d’une glissade humiliante, il atterrit lourdement sur un sol humide avec un « PLOF » bien épais.

Silence.

Puis...

— J’suis pas mort ?

Il ouvrit les yeux. L’air était froid, rempli d’humidité. L’odeur était insupportable. Un mélange de terre moisie, de chair ancienne et de... de lui-même.

Il se relève en toussant, secouant ses bras comme un poulet trempé. Il s’essuya le visage avec sa manche.

— Berk. Oh non. Oh... Non non non...

Et c’est là qu’il vit.

Des toiles d’araignées. Partout. De GROSSES. Avec des araignées grosses comme des chats.

Arthur hurla comme un enfant à qui on montre une brocoli mutant.

J’VEUX PAS MOURIR PAR DES ARAIGNÉES PSYCHOPATHES !!!!!!!!!!!

Il courut dans tous les sens, les bras en l’air, les jambes en compote, glissant sur une flaque de slime inconnu, criant des choses incohérentes comme :

JE SUIS UNE FRAISE ! ÇA FAIT DU SENS NON ?! ÇA FAIT DU SENS !?!?

Puis soudainement...

Re-glissade.

Une autre dalle. Une autre trappe. Un cri.

Et Arthur atterrit droit dans une cellule, au milieu d’un groupe de captifs. Tous sursautèrent. Lui aussi.

Il se releva, les cheveux en bataille, les yeux grands ouverts, l’odeur de la peur toujours bien présente.

Un silence total.

Puis Arthur dit :

— Salut. Moi c’est Arthur. Désolé pour l’entrée... un peu explosive. Qui veut une anecdote embarrassante ? Parce que j’en ai plein.

Et comme ça, avec un sourire tremblotant, il commença à discuter avec les captifs...

Fin du Chapitre Fin de la Première partie de notre histoire

Comme vous l'aurez sans doute compris je vous explique comment Arthur a rejoint les captif 

A Partir de Maintenant Les chapitre Seront tous aussi Bon Mais surtout Plus Trash

Attendez vous a voir des Mort  n'oublier pas que Vanir et Suzette son en difficulté que Arthur et dans un lieu inconnue et que Cornelius et en face d'un des plus puissant pêchée  


3 mois sans suite Jai chercher beaucoup de possibilité plusieurs fin durant tous se temps Jai enfin le fin mots de l'histoire mais pour vous vous êtes a peine au début je cache pas que comme je suis tous seul a lire ses pas drôle sa motive pas personne na jamais essayer mais pas grave je continuerais avec  3 chapitre par mois d'ici 1ans se sera fini maximum 1ans puis j'imprimerais tous et se sera la fin du site a moins que quelqu'un aime se site alors je continuerais a le maintenir merci d'avoir lus si quelqu'un et ici merci vraiment sa motive Merci !  🩸🔪

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