Hyakka Ryouran: Samurai Bride
Dans une autre dimension, le Japon est souvent attaqué pour sa beauté que tout les autres pays veulent conquérir. Des divinités gardiennes protègent alors cette splendeur des autre pays jaloux.
A une époque où le Shogunat de Togukawa est au pouvoir et où la technologie actuelle existe, Yagyuu Muneakira, nôtre héros, va pour rejoindre la Buou Gakuen Juku, une académie que seuls les enfants de soldats peuvent intégrer. Les étudiants reçoivent une éducation spéciale afin de devenir de futurs dirigeants du Japon.
Sur le chemin, il décide d'aller à son dojo, et fait la rencontre de deux filles : Yukimura Sanada et Matabei Gotô, deux samouraïs du clan Toyotomi, opposé au clan Tokugawa. Par la suite se déclenche un enchaînement de quiproquos qui l'amène à se battre contre les Ninjas du conseil disciplinaire. Et ce, jusqu'à ce qu'une lumière éblouissante apparaisse dans le ciel : une jeune femme en descend, tombe dans les bras de Muneakira, l'embrasse et se transforme ainsi en samouraï d'une puissance dévastatrice. Le premier maître samouraï est apparu, mais saura-t-il éloigner cette ombre menaçante qui plane au-dessus du Grand Japon ?
Kaifuku Jutsushi no Yarinaoshi [Interdit -16]
Synopsis :
Keare est un jeune paysan propulsé héros guérisseur suite à l'apparition d'une marque sur sa main. Malheureusement pour lui le voilà exploité horriblement par ses compagnons héros et par le royaume ; drogué, humilié, et violé constamment, Keare est un être brisé ne souhaitant que la vengeance.
Cette chance lui est offerte lorsqu'il comprend que son pouvoir de guérison lui permet en réalité de contrôler les états des éléments (pouvant ainsi faire réapparaître un membre coupé ou pourrir instantanément un corps). Bien décidé à se venger et utilisant ses pouvoirs à son maximum il "rétablit" le monde et le propulse quatre ans en arrière (annulant tous les événements menant à sa déchéance) le jour exact où tout a commencé.
Cette fois, Keare compte bien faire payer à tous ceux qui l'ont privé de sa vie.
un manga a la limite du hentai très hardcore mais j'ai vachement aimé mdr les dessins son incroyable le héros ses un niquer mdr
TITRE ORIGINAL : Kaifuku Jutsushi no Yarinaoshi
ANNÉES DE PRODUCTION : 2021
STUDIOS : [ TNK]
GENRES : [ACTION][ECCHI][MATURE][ROMANCE][FANTASY]
AUTEUR : [TSUKIYO RUI]
VOLUMES, TYPE & DURÉE : 12 EPS 24 mins
Avertissement : Des scènes choquantes
que nous déconseillons aux -16 ans de regarder.
Edit by RaINinGu : Attention c'est la version NC. Thème Harem - Vengeance - Viol - torture psychologique - violance
Fujiwara Naeka est une lycéenne kendoka de 17 ans à forte poitrine et future héritière d'un puissant empire industriel. Afin de la protéger jusqu'à sa majorité, son grand-père engage deux soubrettes un peu particulières : L'une est la superbe Fubuki, aussi habile avec un balai qu'avec une batte cloutée, l'autre est Kogarashi, le "Maid Guy" : ultime arme de propreté massive et de protection rapprochée... Hélas, Kogarashi est loin d'être un gentleman de tact et de raffinement...
Ku ku ku, on attaque ici, un animé à classer dans la catégorie « Grand n’importe quoi ». Franchement, Kamen no maid Guy est tellement absurde, débile et sans profondeur, qu’il en est tout bonnement génial. On a ici, la parfait mélange entre Sumomo momomo et Needless, donc si vous avez aimé ces deux animés, foncez sans crainte, sinon, ben…tentez quand même l’expérience ^^
A l’origine KNMG est un manga complet de 14 volumes publié entre 2004 et 2010, qui connu un bon succès au Japon, mais qui semble être particulièrement boudé outre Atlantique. L’adaptation en animé reprend les 4 premiers volumes de manière très grossière, c’est-à-dire qu’elle n’est pas fidèle à 100% à l’œuvre originale. Il n’empêche que l’esprit a été conservé.
Très sincèrement, au départ, j’étais plus que septique quant au visionnage de KNMG vu ce que laissait supposer le genre. Alors oui, c’est un animé ecchi, ça c’est clair comme de l’eau de roche, pourtant, il s’agit plus d’une parodie du genre. En réalité, l’axe principal de KNMG est foncièrement orienté vers la comédie absolument débridée, à grand renfort de n’importe quoi, où quasiment l’ensemble des gages tournes autour des seins de Naeka (et des autres protagonistes féminins). Mais encore une fois, la manière dont est traité ce point d’humour est plus un coup de gueule fasse à une période très marqué par le fan service et le ecchi. En fait, lorsque l’on regarde plus précisément, on se rend compte que le chara design n’est pas fait de telle manière à magnifier la plastique des filles. Elles ne sont pas moches certes, mais elles n’ont rien ne particulièrement sexy. Franchement, le parti pris de faire une comédie tournant en dérision le ecchi est vraiment pas mal. Donc rien que pour ça, je dis bravo l’auteur. Surtout que l’humour est loin d’être mauvais en réalité, jouant allègrement la carte de l’extrême, avec des scènes en SD tordantes et des protagonistes toujours à deux doigts de l’hystérie. De plus, KNMG se paie le luxe d'une nombre assez impressionnant de références au monde de la japonimation, qui ne sont pas forécement toutes évidentes à voir.
Reste le point fort de KNMG à savoir Guy. Non mais sans déconner, le concept de créer un maid au masculin est carrément énorme ! On voit encore une fois que l’auteur casse le code du sexy en transformant le mythe de la maid soumise et mignonne, en monstre incorrigible sorti des enfers. Kogarashi de son petit nom mignon est comparable à Alucard de Hellsing, le côté délirant en plus. Ce type est une armoire à glace, doté de 37 sens (tant qu’à faire un monstre ^^), de pouvoirs diaboliques, d’un tempérament psychopathe et d’un sens du devoir très particulier. Il n’empêche que c’est un maid, et qu’il dispose de toutes les qualités requises pour apporter assistance à ses maîtres (enfin, si ils y survivent et mis à part qu’il leur parle comme à des merdes). Non de ce point de vu, Guy est vraiment un anti héros comme on aimerait en voir plus souvent dans les animés (surtout que celui qui le double est le même que Hakuoro de Utawarerumono, ce qui est d’autant plus impressionnant).
Après, il faut bien comprendre que l’animé KNMG est uniquement orienté vers l’humour burlesque au possible et il ne faut rechercher absolument rien d’autre. Pas de combats démentiels, pas d’histoire d’amour émouvante, pas de trame scénaristique, et beaucoup, mais alors beaucoup de nibards et de culottes. C’est d’ailleurs ce que l’on reprochera à cet animé, ce manque cruel de profondeur, couplé à un dernier épisode minable, il n’y a pas d’autre mot. La qualité de l’interprétation est au rendez vous (le casting est d’ailleurs de choix pour un animé si peu primé), mais il manque énormément d’éléments pour faire de KNMG une référence du genre. Certains reprocheront également, le manque de renouvellement de l’humour qui est très souvent orienté vers la même chose ou encore le manque totale de cohérence devant certaines situations. Pourtant, il n’empêche que la formule fonctionne à merveille pour celui qui sait dans quoi il s’embarque.
En résumé, côté graphisme, au niveau de la technique on est dans la moyenne, mais ça manque de fluidité par moment et il y a beaucoup trop de plan fixe, ce qui est dommage pour un animé de 2008. Au niveau artistique, ce n’est pas moche, mais il faudra se faire à la patte de l’auteur qui a un style singulier. Le chara design est assez étrange également car rien n’est proportionné (faut voir les doigts des personnages). Bref, c’est pas désagréable, mais sans plus.
Pour la Bande son, là par contre c’est assez étonnant. L’OP est en soit relativement énervant, mais l’OST est très intéressante, surtout pour le remix du thème de pirate des caraïbes (non non je ne déconne pas). Enfin, le END, putain ce END de la mort qui tue TOUT !!! Un seul nom à donner : Yoshiki FUKUYAMA. Si vous êtes un vrai amateur d’animé et de rock jap, ce nom doit déjà raisonner dans vos oreilles.
Enfin pour le scénario, dans l’animé, il n’est qu’un prétexte à introduire Guy et Fubuki au sein de la famille de Naeka pour enchaîner les scènes graveleuses et délirantes. Mention spéciale tout de même pour le duo Guy/Fubuki qui m’a vraiment fait éclater de rire par moment.
Au final, on retiendra de KNMG des protagonistes très très haut en couleurs, débiles au possible, mais tellement drôle que ça frise le respect.
TITRE ORIGINAL : Kamen no Maid Guy
ANNÉE DE PRODUCTION : 2008
STUDIOS : [RONDO ROBE] [MADHOUSE PRODUCTION]
GENRES : [COMéDIE] [ECCHI]
AUTEUR : [AKAI MARUBORO]
VOLUMES, TYPE & DURÉE : 12 EPS 25 mins
Kimi ga Aruji de Shitsuji ga Ore de
Ren et sa soeur se sont enfuis de chez eux, vraisemblablement en raison de la violence de leur père. Livrés à eux-mêmes ils se lancent à la recherche d’emplois avec logement fourni. Pendant leurs recherches, Ren et sa soeur viennent en aide à une fille. Cette dernière les invite alors chez elle pour les remercier. Il s’avère alors qu’elle fait partie de la famille Kuonji, une famille riche possèdant une vaste propriétés et plusieurs servants et servantes… Voyant dans cette situation l’opportunité de trouver un emploi et un logis pour elle et son frère, la soeur de Ren persuade la famille Kuonji de les engager pour s’occuper du manoir. Mais la vie au manoir ne va pas être de tout repos… je ne m’attendais pas a sa quand j'ai lu le résumé il s'agit d'un anime très intéressant avec des personnage attachant et un scenario qui tien la route je le conseille fortement
TITRE ORIGINAL : Kimi ga aruji de shitsuji ga ore de, They Are My Noble Masters
ANNÉE DE PRODUCTION : 2008
STUDIO : [KIMIARU PRODUCTION COMMITTEE]
GENRES : [COMéDIE] [AMOUR & AMITIé] [ECCHI]
AUTEUR : [MINATOSOFT]
VOLUMES, TYPE & DURÉE : 13 EPS 25 mins
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