Synopsis
Il y a bien longtemps, les gens craignaient des monstres appelés yokai. Celui qui se tenait à leurs têtes, et dirigeait le "Hyakki Yako" (Cortège/Parade Nocturne des Cents Démons), était connu pour être le Commandant Suprême des yokai. Ils avaient un autre nom pour lui... Le Seigneur de Pandémonium... Nurarihyon.
Nurarihyon désire que son petit-fils, Nura Rikuo âgé de 12ans, prenne la relève en tant que 3ème héritier. Cependant celui-ci, étant 3/4 humain, préfère vivre une vie paisible d'humain mais son quart yokai veut prendre la succession et former son hyakki yako.
Nura Rikuo sera forcé de prendre conscience de sa part yokai et devra prendre ses responsabilités de petit-fils de Nurarihyon pour protéger ceux qu'il aime.
CRITIQUE
Nura : Le Seigneur des Yōkaï par Ninesisters
Nura, le Seigneur des Yokai exploite une tendance bien établie : reprendre un concept classique et le moderniser en y introduisant les éléments-clés du shônen actuel. Bleach l’a fait avec les shinigami, Blue Exorcist avec les exorcistes, Naruto avec les ninjas,… Comme son nom l’indique, Nura, le Seigneur des Yokai le fait avec les yokai, ces créatures issues de la tradition japonaise. Bien loin des histoires de Shigeru Mizuki, ici les yokai sont réunis en clans. Nurarihyon dirige le clan Nura, le plus puissant du Japon. Son petit-fils et héritier, Rikuo, est partiellement humain ; une situation qui provoque des tensions au sein du clan, car beaucoup doutent de sa capacité à mener le cortège des démons, d’autant plus qu’il n’a encore jamais montré posséder des pouvoirs de yokai.
Il y a quelques années, j’ai lu un entretien d’un responsable de Kana, qui expliquait que ce manga représentait une déception, car ils misaient beaucoup dessus, croyaient en son succès, mais que les ventes tardaient alors à décoller. En lisant ce manga, je me suis dit qu’il avait pourtant tout ce qu’il faut pour fonctionner. Mais d’un autre côté, cet échec ne me surprend qu’à moitié, car avant cet entretien, je n’avais strictement jamais entendu parler de Nura, le Seigneur des Yokai, alors que je suis tout de même d’assez près le marché français du manga. Autant je trouve qu’ils ont bien travaillé leur communication sur le sympathique Psyren, autant là… Seulement, je suis la preuve vivante qu’ils ont peut-être trouvé un moyen de réparer cette petite erreur : après avoir acheté deux tomes de Prince du Tennis pour compléter ma collection, j’ai eu l’agréable surprise de recevoir le tome 1, dans le cadre d’une opération lancée par l’éditeur. J’ai adoré et j’ai immédiatement acquis la suite.
Nura, le Seigneur des Yokai s’amuse à mélanger les yokai avec un style assez proche des yakuza ; le héros, Rikuo, est un de ces personnages idéalistes qui ne veulent aucune lutte entre les humains et les démons, mais cela ne l’empêche nullement de se battre. Le mangaka réussit à créer un décalage vraiment séduisant entre le monde des yokai, emprunt de légendes et de traditions, et celui des humains beaucoup plus moderne, tout en les faisant cohabiter. Les histoires tiennent à la fois de la confrontation entre ces deux univers, mais aussi aux luttes entre clans de démons, parfois au sein même du clan Nura ; elles reprennent quelques codes du cinéma de yakuza – sens de l’honneur exacerbé, forte hiérarchisation au sein des clans, ou encore luttes de pouvoir – mais alternent surtout, comme nombre de titres similaires, entre l’action et l’humour (même si ce-dernier diminue au fil des tomes), tout en ménageant quelques rares effets dramatiques. Les yokai eux-mêmes sont souvent des versions guerrières des figures classiques, comme Yuki Onna, les Tengu, les Inugami, ou les Kappa.
L’histoire peut donc sembler plutôt classique, mais c’est typiquement le genre de manga qui exploite bien son idée de départ et les codes du shônen moderne, pour un résultat accrocheur et divertissant. La grosse valeur ajoutée, c’est le dessin, qui possède deux déclinaisons : une forme typique des productions actuelles, et surtout une forme plus proche des illustrations classiques ou du trait de Hiroshi Hirata, qui donne l’impression d’avoir été dessinée avec un pinceau, et employée pour certaines apparitions de yokai pour un rendu saisissant.
Nurarihyon no Mago : Sennen Makyou
Synopsis
L'histoire commence environ 100 ans après la disparition d'Otome Yamabuki, la première femme de Rihan Nura. Rihan s'est finalement ressaisi et a reprit une vie normale. Étant à la tête du clan Nura, il est occupé à travailler sur la construction d'un monde harmonieux pour les humains et les youkais.
Un jour, il voit Setsura perturbée, et il décide de lui remonter le moral en l'emmenant profiter de la source d'eau chaude, où elle se décide à lui avouer qu'elle a rencontré Otome quelques temps après sa disparition, il y a 100 ans de cela. Elle lui dit qu'Otome lui a laissé un message...
OAV fournis avec les éditions limités du 24ème et 25ème volumes du manga.
Nura - Le seigneur des Yôkai
Synopsis
En 2007, le manga n'était qu'un simple one-shot. Puis connaissant un grand succès, Nurarihyon no Mago fut publié dans le Weekly Shônen Jump à partir de 2008.
Nura Rikuo, un jeune garçon au caractère bien trempé est le petit-fils du Nurarihyon, le commandant suprême des youkai (démons). Et son grand-père espère qu'il prendra sa succession en prenant le contrôle du clan Nura.
Quand il n'avait que neuf ans, Rikuo qui n'est qu'à un quart démon voulait devenir comme son grand-père. Mais face aux moqueries de ses camarades de classe ne le croyant pas quand il disait que les youkai étaient bon et qu'il est l'héritier du puissant Nurarihyon, Rikuo essaya alors de creuser le plus grand écart possible entre lui et les youkai pour essayer d'échapper à ce poste.
Mais les années passent et le sang de youkai qui coule dans ses veines se réveille peu à peu.
Article Plutôt Court j'avoue mais bon je sort 1 article tous les jours ha ha je suis pas un bot mec ! je suis étonnée sa ma pris 45 minute pour trouvée les photo les texte mon préavis les lien et faire tous l'article je l'ai speed run c'est un world record a demain ..... AH Oui ils sera Hyper Long lui de demain x)
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