La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 Péchés Chapitre 1-4

Publié le 7 janvier 2025 à 16:28

La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 Péchés Arthur et Suzette

merci beaucoup de me soutenir sur le projet

Chapitre 1 : La Malédiction des Mille Chasses

 

Le soleil brillait haut dans le ciel, éclairant le petit village de Flatbottom. Ses ruelles pavées, bordées de maisons en bois aux cheminées fumantes, respiraient la quiétude — sauf pour un endroit bien particulier : l’auberge « La Chope Fuyante », où une scène à la fois grotesque et désespérée se déroulait.

Arthur Flushwood, un jeune homme à la chevelure ébouriffée et au visage hérissé de gouttes de sueur, s’agrippait au rebord d’une table en bois massif. Son regard était fixe, suppliant, tandis qu’il murmurait :

— Pas encore… pas maintenant…

Mais ses entrailles, fidèles à leur sinistre rituel, le trahirent. Un grondement sonore résonna dans la pièce, suivi d’un hurlement étouffé de panique. Le jeune homme bondit hors de sa chaise, renversant son bol de soupe et faisant sursauter les autres clients de l’auberge.

— C’est la cinquième fois ce matin ! beugla le tavernier, un homme trapu avec une moustache imposante. Je vais devoir renforcer mes égouts si tu continues comme ça, Arthur ! Tu bouche mes canalisation avec ton trou du cul !

Les rires fusèrent dans la salle. Les clients — pour la plupart des villageois à l’humour douteux — se moquaient ouvertement du pauvre Arthur. Mais lui n’avait pas le luxe de répliquer : il sprinta vers les toilettes situées à l’arrière, la main serrée sur son ventre en feu.


Assis sur son trône improvisé, Arthur maudit une fois de plus sa condition. Cela faisait deux ans qu’il était victime de cette malédiction infernale. Tout avait commencé lors de cette maudite randonnée avec son oncle Alphonse. Perdus dans une forêt brumeuse, ils étaient tombés sur une clairière où se dressait un étrange autel recouvert d’inscriptions mystérieuses. Et, dans un geste d’insouciance monumentale, Arthur avait décidé d’utiliser un rouleau de papier-toilette antique qui siégeait au sommet de l’autel.

Un éclair avait déchiré le ciel, une voix tonitruante avait crié « Sacrilège ! », et depuis ce jour, il était condamné à ce calvaire ininterrompu.


Une fois revenu dans la salle principale, les regards moqueurs des villageois ne l’épargnèrent pas. Arthur, rouge de honte, se laissa tomber sur une chaise. Mais alors qu’il allait replonger dans son introspection misérable, un vieil homme à l’air mystérieux entra dans l’auberge. Il portait une cape rapiécée et une barbe si longue qu’elle traînait presque au sol.

— Arthur Flushwood ? demanda-t-il d’une voix grave.

— Euh… oui ? répondit Arthur, interloqué. Qui veut savoir ?

Le vieillard s’approcha lentement, posant une main osseuse sur l’épaule d’Arthur. Ses yeux étincelaient d’une étrange énergie.

— La prophétie parle de toi, murmura-t-il. Tu es celui qui portera la Malédiction des Mille Chasses… mais aussi celui qui pourra la briser.

Un silence pesant s’installa dans l’auberge. Tous les regards étaient tournés vers Arthur.

— La proph… quoi ? articula-t-il avec confusion.

Le vieil homme déroula un parchemin jauni, où étaient dessinés des symboles étranges, ainsi qu’une carte menant à un lieu mystérieux.

— Le Mont Bidet, expliqua-t-il, est l’endroit où repose le Remède Sacré. Mais pour y parvenir, tu devras affronter les sept incarnations des péchés capitaux. Ils gardent chacun un fragment du Rouleau Divin, nécessaire pour ouvrir le temple.

Arthur leva les mains en signe de refus.

— Non, non, non. Vous avez frappé à la mauvaise porte, papi. Je suis déjà assez maudit comme ça, pas question que j’aille chercher des noises à des monstres mythiques.

Le vieil homme plissa les yeux.

— Tu n’as pas le choix, jeune homme. La malédiction empirera… jusqu’à ce que tu… explos…

Arthur n’eut pas besoin d’entendre la fin de la phrase pour comprendre. Son regard se perdit dans le vide, puis il soupira bruyamment.

— Bon, très bien, marmonna-t-il. Mais je veux une équipe. Pas question d’affronter ces machins tout seul.

Le vieil homme hocha la tête.

— Tu trouveras des alliés en chemin, prédit-il. Mais méfie-toi… chacun porte en lui son propre péché.

Arthur roula des yeux, puis se leva, équipé de son sac à dos et d’un rouleau de papier-toilette flambant neuf.

— Allons-y, murmura-t-il avec un mélange de détérmination et de lassitude. Le Mont Bidet ne viendra pas à moi.

Et ainsi débuta la quête la plus absurde et épique de l’histoire humaine.


Chapitre 2 : L’étrange Suzette

 

Arthur n’avait pas fait dix kilomètres qu’il regrettait déjà son choix. Le chemin vers le Mont Bidet, bien que balisé par quelques repères gravés sur la carte, semblait étrangement vide de toute civilisation. Le silence était entrecoupé seulement par le bruit de ses propres pas et… par d’autres sons qu’il préférait ne pas évoquer.

— Pourquoi je fais ça… marmonna-t-il. Je pourrais être chez moi, avec un coussin chauffant et une soupe bien… éloignée des toilettes publiques.

Alors qu’il continuait de maugréer, un bruit d’éclaboussures attira son attention. En contrebas, une rivière serpentait parmi les rochers, et au centre de cette rivière, une silhouette dansait étrangement. Intrigué, Arthur s’approcha en catimini.

C’était une jeune femme à la chevelure verte, habillée d’une robe bleu vif qui semblait briller au soleil. Elle brandissait une étrange baguette en forme de balai et récitait des incantations incompréhensibles.

— Par la bulle de l’éclaté, nettoie cette souillure ! s’écria-t-elle avec ferveur.

Arthur, trop fatigué pour être discret, marcha sur une branche qui craqua bruyamment. La jeune femme sursauta, se tourna vers lui et pointa son balai magique dans sa direction.

— Qui va là ? cria-t-elle. Es-tu un allié de la crasse ou un serviteur de la pureté ?

Arthur resta figé, le cerveau en pleine surchauffe.

— Euh… ni l’un ni l’autre ? Je suis juste un… gars qui passe.

Elle baissa lentement son balai et le dévisagea avec suspicion.

— Toi… tu es maudit, n’est-ce pas ?

Arthur haussa un sourcil.

— Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

La jeune femme fit tournoyer son balai, produisant une bulle géante qui flotta dans les airs avant d’éclater sur Arthur. Il se sentit subitement… plus propre ?

— Je le savais, dit-elle avec un sourire triomphant. La malédiction que tu portes est puissante. Tu as besoin de mon aide !

Arthur recula instinctivement.

— Attends une seconde, je ne t’ai rien demandé !

— Trop tard, répliqua-t-elle en sautant hors de la rivière. Je suis Suzette, la Sorcière des Bulles, et je te jure allégeance jusqu’à ce que cette malédiction soit levée !

Arthur soupira, réalisant qu’il venait de recruter, volontairement ou non, son premier compagnon de voyage.


Chapitre 3 : La Grande Course aux Toilettes

 

Arthur avançait sur le chemin poussiéreux, suivi de Suzette, qui semblait particulièrement enthousiaste à l'idée de purifier le monde à grands coups de bulles. Bien qu’il apprécie secrètement l’aide de cette sorcière excentrique, son enthousiasme débordant lui donnait déjà un mal de crâne.

— Dis-moi, Suzette, murmura Arthur en plissant les yeux pour regarder la carte, tu es sûre que tu veux venir ? Ce voyage va être long, pénible, et… franchement embarrassant.

— Long et pénible, je peux gérer, répondit Suzette d’un ton enjoué. Quant à l’embarras, regarde-moi : je danse avec un balai sur une rivière. Tu penses vraiment que ça me dérange ?

Arthur haussa les épaules.

— Très bien, mais je te préviens, ça risque d’être—

Un rugissement bestial retentit derrière eux, coupant Arthur dans sa phrase. Il se retourna pour voir une créature massive bondir hors des fourrés. C’était un sanglier énorme, couvert de boue, avec des yeux injectés de sang et des défenses aussi longues que des branches d’arbre.

— Attention ! hurla Suzette en brandissant son balai.

Le sanglier chargea à une vitesse ahurissante, sa bave éclaboussant le sol. Arthur, pris de panique, fit ce qu’il savait faire de mieux : il courut. Cependant, courir avec sa malédiction était une tâche plus périlleuse qu’il n’y paraissait.

— Pas maintenant ! Pas maintenant ! gémit-il en serrant son ventre.

— Cours plus vite ! cria Suzette, qui tentait de le suivre tout en lançant des bulles géantes pour ralentir le sanglier. Les bulles éclataient au contact de la bête, mais ne semblaient que la rendre plus enragée.

Arthur et Suzette couraient à toute allure lorsqu’ils aperçurent une petite maison en bois nichée dans une clairière. Une enseigne accrochée à la porte indiquait : "Toilettes publiques – 1 pièce d’or l’entrée."

— Une maison de toilettes ?! s’exclama Arthur.

— C’est… le destin ! s’émerveilla Suzette.

Ils se précipitèrent vers la porte, mais le sanglier était sur leurs talons. Arthur plongea à l’intérieur et s’effondra sur une chaise en criant :

— Fermez la porte ! Fermez la porte !

Suzette, toujours à l’extérieur, tenta de repousser le sanglier en utilisant une énorme bulle. La créature rebondit contre l’orbe scintillante, glissa dans un buisson et disparut en poussant un couinement frustré.

Suzette entra en trombe dans la maison, essoufflée mais victorieuse. À l’intérieur, l’atmosphère était paisible et étrangement élégante : chaque cabine de toilettes était ornée de rideaux en velours, et des chandeliers éclairaient la pièce d’une lumière douce.

— Je crois qu’on l’a semé, dit Suzette en s’effondrant sur une chaise.

Arthur, quant à lui, était déjà en mission critique. Mais lorsqu’il ouvrit la porte de la cabine la plus proche, il se figea.

— Non… murmura-t-il.

— Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Suzette, alarmée.

Arthur pointa l’intérieur de la cabine. Là, au lieu d’une cuvette normale, se trouvait un étrange dispositif mécanique rempli de tuyaux et de boutons. Une pancarte sur le mur disait : "Expérience interactive : apprenez à maîtriser vos flux !"

— QUI a eu cette idée ?! rugit Arthur.

Suzette haussa les épaules.

— Peut-être que c’est une épreuve. Après tout, ton voyage est censé être semé d’embûches.

Arthur grogna de frustration. Il appuya sur un bouton au hasard, et la machine se mit en marche avec un bruit inquiétant. Une série de jets d’eau jaillit de tous les côtés, le trempant de la tête aux pieds.

— Je vais tuer le vieux prophète, marmonna Arthur.

Après avoir séché tant bien que mal ses vêtements, Arthur et Suzette reprirent la route. Mais un autre obstacle les attendait. Ils tombèrent nez à nez avec une troupe d’hommes en armure, chacun portant un symbole étrange sur sa poitrine : un rouleau de papier-toilette croisé avec une épée.

Le chef, un homme trapu au casque cabossé, s’avança vers eux.

— Vous êtes en territoire sacré, déclara-t-il. Personne ne passe sans répondre à notre énigme.

Arthur se passa la main sur le visage, désespéré.

— Sérieusement ? soupira-t-il. Je suis maudit, poursuivi par des monstres, et maintenant je dois résoudre des énigmes ?

Le chevalier ne broncha pas.

— Voici l’énigme : qu’est-ce qui est léger comme une plume mais plus lourd que l’âme d’un pêcheur coupable ?

Suzette tapa dans ses mains.

— Oh, je sais ! C’est—

Arthur l’interrompit.

— Non ! Pas besoin de répondre. Regardez, je suis maudit. Vous voulez vraiment me compliquer la vie encore plus ?

Le chevalier sembla réfléchir un instant, puis éclata de rire.

— Très bien ! Votre honnêteté me plaît. Vous pouvez passer. Mais prenez garde : le chemin devient plus dangereux au-delà de cette forêt.

Arthur grogna et reprit sa marche, Suzette trottinant joyeusement à ses côtés.

— Tu vois, on fait une bonne équipe, dit-elle.

— Ouais, super, répondit Arthur en levant les yeux au ciel. Mais si le prochain obstacle est une machine infernale ou un autre sanglier géant, je démissionne.

Ainsi, leur aventure continua, avec toujours plus de défis absurdes et hilarants à l’horizon.

 


Chapitre 4 : Le Club des Survivants d’Allergies Alimentaires

 

Arthur et Suzette continuaient leur périple dans la forêt dense qui bordait le territoire des chevaliers énigmatiques. Les arbres semblaient de plus en plus grands, au point de bloquer presque toute la lumière du soleil. L’atmosphère devenait oppressante, mais Suzette restait imperturbable, fredonnant une chanson sur les vertus du savon.

— Pourquoi est-ce que tu es toujours aussi… joyeuse ? demanda Arthur, dont l’humeur oscillait entre l’irritation et le désespoir.

— Parce que, répondit Suzette en effectuant une pirouette, je crois que tout a une solution ! Même ta malédiction.

Arthur leva les yeux au ciel.

— Si tu avais vécu ne serait-ce qu’une journée avec ce que j’endure, tu ne serais pas aussi optimiste.

— Peut-être, dit-elle en haussant les épaules. Mais ça ne sert à rien d’être malheureux, alors autant rester positive !

Alors qu’ils débattaient sur la philosophie de la vie avec des intestins défaillants, un étrange parfum leur chatouilla les narines. C’était une odeur douce et envoûtante, un mélange de miel, de fleurs et… d’un soupçon d’épices.

— Qu’est-ce que c’est ? demanda Arthur, méfiant.

— On dirait l’odeur de biscuits tout juste sortis du four ! répondit Suzette en reniflant l’air avec enthousiasme. Oh, j’adore les biscuits !

Elle s’élança vers la source de l’odeur sans attendre la moindre confirmation d’Arthur, qui se résigna à la suivre. Après quelques minutes de marche, ils débouchèrent dans une clairière où une immense table était dressée, couverte de montagnes de nourriture. Des tartes, des gâteaux, des plats mijotés, des assiettes de fruits exotiques… c’était un véritable banquet.

— Eh bien, on dirait qu’on a trouvé le paradis ! s’exclama Suzette en applaudissant.

Arthur, cependant, recula instinctivement. Il avait vu suffisamment de films d’aventure pour savoir qu’un festin dans une forêt sombre n’augurait rien de bon.

— Ne touche à rien, dit-il. C’est sûrement un piège.

Mais avant qu’il ne puisse l’arrêter, Suzette avait déjà attrapé un biscuit et croqué dedans.

— Hmm… délicieux ! dit-elle en mastiquant bruyamment. Tu devrais essayer !

Arthur n’eut pas le temps de protester. Un groupe d’individus surgit soudain des buissons, armés de fourchettes et de cuillères géantes. Leur chef, un homme maigre au teint blafard, s’avança vers eux. Il portait un tablier sur lequel était inscrit : "Chef Gourmetto, président du Club des Survivants d’Allergies Alimentaires".

— Vous avez osé manger à notre table sans autorisation ? gronda Gourmetto.

Arthur fit un pas en arrière.

— Ce n’est pas moi, c’est elle ! lança-t-il en pointant Suzette, qui continuait de mâcher nonchalamment.

Gourmetto ignora l’excuse et claqua des doigts. Les autres membres du club, tous arborant des regards affamés et légèrement dérangés, entourèrent Arthur et Suzette.

— Voici la règle, dit Gourmetto avec un sourire sinistre. Si vous voulez partir d’ici en un seul morceau, vous devez passer l’Épreuve Ultime des Allergènes.

Arthur fronça les sourcils.

— L’épreuve… quoi ?

— Une dégustation, précisa Gourmetto. Vous devrez goûter à nos plats les plus raffinés et deviner les ingrédients cachés. Mais attention… si vous mangez quelque chose auquel vous êtes allergique, ce sera la fin !

Suzette hoqueta d’enthousiasme.

— Oh, ça a l’air amusant !

— Non, ce n’est pas amusant ! répliqua Arthur. C’est dangereux, idiot, et totalement inutile !

Mais Gourmetto avait déjà donné des ordres à ses sbires, qui commencèrent à disposer devant eux une série de plats bizarres. L’un ressemblait à une soupe fluorescente, un autre à une sorte de gâteau violet qui semblait vibrer.

— Premier plat ! annonça Gourmetto. Une délicieuse soupe aux herbes mystiques et aux épices de l’ombre.

Arthur dévisagea la soupe. Elle brillait d’une lumière étrange et dégageait une vapeur qui formait des figures géométriques dans l’air. Suzette, intrépide, prit une cuillère et goûta.

— Hmm… c’est piquant, mais pas mauvais, dit-elle en souriant.

Arthur, malgré sa réticence, n’eut d’autre choix que de suivre. À contrecœur, il porta une cuillerée à sa bouche. Une explosion de saveurs le traversa, suivie par une sensation de chaleur intense. Il toussa violemment, son visage passant par toutes les nuances de rouge.

— Ça brûle ! s’écria-t-il.

— Oh, c’est juste du piment cosmique, dit Suzette en lisant la liste des ingrédients sur une étiquette. Pas de quoi s’inquiéter !

— Pas de quoi s’inquiéter ?! rugit Arthur. Je vais littéralement prendre feu Avez vous penser une seul seconde a mon trou du cul !

Le deuxième plat était encore plus étrange : un sorbet glacé qui semblait fumer et gémir doucement.

— Faites attention, avertit Gourmetto. Ce plat contient une pincée d’angoisse cristallisée. Une allergie à la peur pourrait être… problématique.

Suzette goûta, et ses yeux s’agrandirent.

— Ça… ça me rappelle mes cauchemars d’enfant, murmura-t-elle. Mais c’est délicieux !

Arthur hésita longuement avant de tenter une bouchée. Immédiatement, il se sentit transporté dans une salle de classe où il avait oublié de rendre un devoir important. Il hurla et laissa tomber la cuillère.

— Qui met des devoirs oubliés dans un sorbet ?!

Après plusieurs autres plats, chacun plus absurde que le précédent, Gourmetto hocha la tête d’un air satisfait.

— Félicitations, vous avez survécu. Peu de gens passent cette épreuve. Vous êtes maintenant officiellement membres honoraires du Club des Survivants d’Allergies Alimentaires.

Arthur, encore tremblant, leva une main.

— Merci, mais je vais passer mon tour sur l’adhésion, dit-il.

Gourmetto les laissa partir, leur offrant un panier de provisions étranges en guise de cadeau. Tandis qu’ils quittaient la clairière, Suzette regarda Arthur avec un grand sourire.

— Tu vois ? Tout s’est bien passé.

Arthur la dévisagea.

— Bien passé ? J’ai failli mourir à cause d’un sorbet dépressif !

— Mais maintenant, on a des provisions pour la route, répondit Suzette en sortant un biscuit scintillant du panier.

Arthur soupira.

— Je sens que ce voyage va être beaucoup plus long que prévu…

Et ainsi, ils reprirent leur chemin, prêts à affronter d’autres absurdités sur la route du Mont Bidet.


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je suis super fier de cette histoire les chapitre suivant sont 2 fois plus long merci d'avoir lus et si tu a pas aimer j'espère que tu sera sincère en commentaire hésite pas a dire si ses nul a t'es yeux pour le personnage de suzette je me suis baser sur suzie de zatch bell et mélanger avec le canon a bull de ginta du héros Marchen awaken romance 

j'ai modifier beaucoup de ligne car j'aimais pas trop le rendu la ses la version final ! le chapitre 5 a 7 et beaucoup mieux  j'ai besoin de bosser sur les personnage et d'autre idée mdr a la prochaine 28/11/24  ont et le 07/01/2025 Jai enfin la version final je tien a dire que le chapitre 5 a 7 et  trop fou et drôle  petit indice / beau gosse gâteaux et rat / suite a une incohérence dans l'histoire Jai supprimer l'idée du 3eme compagnon ils viendra bien plus tard Jai préférer développer avant tous la relation entre Suzette et Arthur mais bon tu verra bien au chapitre 8 et 9 ses beaucoup de taf les idée son les bienvenue 


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