La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 Péchés ARTHUR ET SUZETTE !

Chapitre 5 : Le Duel Épique Contre le Seigneur de l’Admiration Excessive
Après leur escapade dans la clairière des allergènes, Arthur et Suzette arrivèrent enfin aux abords d’un petit village pittoresque. Des maisons aux toits de chaume s’alignaient le long d’une rue principale animée, où des marchands vendaient des légumes étranges, des potions lumineuses, et, pour une raison obscure, des hamsters vêtus d’armures miniatures.
— C’est sympa ici, déclara Suzette en attrapant un hamster et en lui caressant la tête. On dirait un endroit parfait pour se reposer un peu.
Arthur, qui n’avait pas encore complètement digéré l’épreuve des allergènes, hocha la tête.
— Oui, enfin, tant qu’on ne tombe pas sur un autre maniaque avec des défis absurdes…
Comme pour prouver qu’il avait parlé trop vite, une trompette tonitruante retentit dans l’air. Tous les habitants du village s’arrêtèrent net, se tournant vers la grande place avec des expressions mêlant admiration et désespoir.
— Oh non, murmura un vieil homme en lâchant son panier de pommes. Il est là…
Arthur regarda autour de lui, confus.
— Il ? Qui ça, « il » ?
Un nuage de fumée rose jaillit au centre de la place, accompagné d’une pluie de confettis et d’un cri retentissant :
— MESDAMES ET MESSIEURS, FAITES PLACE À L’UNIQUE, AU SUBLIME, AU LÉGENDAIRE… L’ADMIRABLE LORD VANITY LE MAGNIFIQUE !
De la fumée émergea un homme d’une stature impressionnante, vêtu d’un costume chatoyant composé de paillettes dorées et d’une cape qui semblait briller de son propre éclat. Il portait des lunettes de soleil si gigantesques qu’elles couvraient presque tout son visage, et ses cheveux blonds formaient une vague parfaite défiant les lois de la gravité.
— Qui ose troubler la perfection de ce village ? demanda Lord Vanity d’une voix dramatique. Est-ce… toi ? ajouta-t-il en pointant Arthur du doigt.
— Moi ? Non, pas du tout, je suis juste de passage, répondit Arthur en levant les mains.
— SILENCE ! s’écria Lord Vanity. Ta coiffure chaotique et ton manque de coordination corporelle offensent mes yeux divins. Je te mets au défi !
Arthur cligna des yeux.
— Un défi ? Pourquoi est-ce que tout le monde veut me défier, sérieusement ?!
Lord Vanity agita sa cape et fit apparaître un miroir doré géant.
— Le défi est simple, mortel ! Celui qui me vaincra dans une compétition d’élégance et de style gagnera le droit de quitter ce village. Si tu perds, tu seras condamné à porter… ceci !
Il fit un geste théâtral, révélant une tunique en laine tricotée, d’un orange si criard qu’elle semblait brûler la rétine.
— Mon dieu, c’est atroce, murmura Suzette, visiblement choquée.
— Eh bien, je ne suis pas particulièrement fan de mode, mais… commença Arthur.
— Tais-toi ! rugit Lord Vanity. Le duel commence MAINTENANT !
Avant qu’Arthur ne puisse protester, des assistants vêtus de costumes argentés l’attrapèrent et l’entraînèrent vers une estrade improvisée.
Le duel se déroulait en trois épreuves. La première : le Défilé Éblouissant. Arthur, vêtu d’un ensemble qu’il décrivit comme « une abomination entre un peignoir et une armure en papier d’aluminium », devait marcher sur un tapis rouge tout en affichant « une aura de confiance ».
Lord Vanity, quant à lui, paradait avec un costume en plumes dorées, saluant la foule qui scandait son nom.
— Regarde-moi, misérable ! cria Vanity. Je suis la quintessence de l’élégance, la beauté absolue un phare dans la nuit obscure de ton existence médiocre !
Arthur roula des yeux. Il tenta de copier la démarche exagérément gracieuse de son adversaire, mais trébucha sur un bout de tissu et s’écrasa de tout son long.
— Point pour Lord Vanity ! annonça un arbitre sorti de nulle part.
La deuxième épreuve était encore plus absurde : le Duel des Miroirs. Les deux adversaires devaient se regarder dans des miroirs géants tout en récitant des compliments sur eux-mêmes. Celui qui hésitait ou manquait d’inspiration perdait.
— Je suis l’incarnation de la beauté céleste, dit Lord Vanity avec une voix mielleuse. Mes cheveux sont tissés par des anges, et ma peau est plus douce que la soie des cieux mon pénis et sublime je suis parfait les waifu sont toute a moi .
Arthur regarda son reflet, visiblement mal à l’aise.
— Euh… j’ai une mâchoire… fonctionnelle ? tenta-t-il.
— Pathétique ! hurla Vanity.
Arthur se tourna vers Suzette, qui lui fit un geste encourageant.
— D’accord, je vais essayer. Je… j’ai survécu à une malédiction intestinale infernale pendant deux ans, et pourtant, je suis encore debout ! Si ça, ce n’est pas une preuve de résilience, alors quoi ? j'aimerais bien vous y voir ! J'ai le cul qui et prêt a exploser a chaque instant
Le public resta silencieux un instant, puis éclata en applaudissements. Même Lord Vanity sembla surpris.
— Très bien, marmonna-t-il. Point pour toi.
La troisième et dernière épreuve était le Chant de la Vanité, une performance musicale où chaque concurrent devait improviser une chanson célébrant leur propre grandeur. Lord Vanity, accompagné d’un orchestre invisible, chanta une ballade si exagérément narcissique que même Suzette roula des yeux.
— Il ne fait que répéter « Je suis incroyable » sur tous les tons, chuchota-t-elle.
Arthur, quant à lui, n’avait aucun talent musical. Mais inspiré par la situation, il improvisa un rap hilarant sur ses mésaventures et sa malédiction, intégrant des jeux de mots douteux sur les toilettes et la survie.
— Je suis Arthur, le roi du rouleau,
Ma vie, c’est bizarre, mais c’est rigolo.
Même maudit, je tiens bon,
Alors garde ta cape, j’ai déjà un pantalon BRAAA !
Le public éclata de rire, et même les assistants de Vanity commencèrent à danser. Lord Vanity, outré, arracha ses lunettes de soleil et jeta sa cape par terre.
— Très bien, rugit-il. Tu as gagné cette fois, mais sache que je reviendrai !
Il disparut dans un nuage de fumée, laissant derrière lui une foule en liesse.
Suzette tapa dans ses mains en riant.
— Tu es vraiment doué pour te sortir des situations absurdes, Arthur !
— Je n’aurais pas à le faire si les gens normaux existaient dans ce monde, grogna-t-il.
— Allez, avoue que c’était un peu drôle, non ? demanda-t-elle en lui tendant un hamster en armure.
Arthur le prit et soupira.
— Je vais finir par devenir fou avant d’arriver au Mont Bidet…
Ils quittèrent le village sous les acclamations des habitants, prêts à affronter la prochaine étape de leur périple absurde.
Chapitre 6 : La Forêt des Délices Dangereux
Après leur victoire rocambolesque contre Lord Vanity, Arthur et Suzette s’étaient aventurés dans une forêt dense et colorée, connue sous le nom de la Forêt des Délices. Les arbres ici portaient des fruits si appétissants qu’on aurait dit qu’ils avaient été dessinés par un chef pâtissier sous LSD. Des pommes en forme de tartelettes, des bananes enrobées de chocolat, et même des raisins scintillants comme des diamants pendaient à portée de main.
— Cette forêt est une bénédiction ! s’exclama Suzette en mordant dans une pêche à la crème. Elle fondait littéralement en bouche.
— Mouais… murmura Arthur, méfiant. Rien n’est jamais gratuit. Ça sent le piège.
Mais ses protestations furent noyées par le gargouillement tonitruant de son estomac. Son regard se posa sur une mangue juteuse qui semblait l’appeler par son prénom.
— Peut-être juste une bouchée, marmonna-t-il en tendant la main.
Avant qu’il ne puisse croquer dans le fruit, une voix grave et théâtrale résonna à travers la forêt.
— HALTE, MORTELS !
Les arbres frémirent, et un gigantesque pâtissier anthropomorphe, composé entièrement de gâteaux, surgit d’une clairière. Il portait un tablier marqué « Chef de l’Enfer des Gourmands » et tenait un fouet… en crème chantilly.
— QUI OSE PROFANER MES FRUITS SACRÉS ? rugit-il.
Arthur lâcha la mangue comme si elle l’avait mordu.
— Encore un autre fou furieux… soupira-t-il.
Suzette, les joues gonflées de pêche, leva une main tremblante.
— Euh… c’est un malentendu ! On ne savait pas qu’ils étaient sacrés !
Le pâtissier plissa les yeux, observant les miettes sur son tablier.
— La Forêt des Délices n’est pas un simple buffet ! Chaque fruit ici est un piège soigneusement conçu pour tester votre valeur ! Maintenant, vous devez payer… EN PARTICIPANT À MON CONCOURS DE GASTRONOMIE ULTIME !
Arthur leva les bras au ciel.
— Sérieusement ? Pourquoi est-ce que tout devient une compétition absurde ?
— SILENCE ! rugit le pâtissier. L’Épreuve des Délices commence maintenant !
Première Épreuve : La Boulette Infernale
Sur une table en pierre apparurent deux assiettes contenant une boulette géante de viande entourée d’une aura rougeoyante.
— Voici la Boulette Infernale, expliqua le pâtissier. Vous devez la manger sans sourciller. Attention, elle contient la sauce piquante de l’Enfer !
Arthur observa la boulette avec horreur. Suzette, cependant, semblait intriguée.
— Facile, dit-elle en croquant dedans.
Ses yeux s’écarquillèrent immédiatement, et elle se mit à produire des bruits incohérents tout en agitant les bras. Arthur recula d’un pas.
— Qu’est-ce qui ne va pas ?!
Suzette réussit à articuler entre deux hoquets :
— De… L’EAU !
Elle bondit vers un ruisseau et y plongea la tête.
Arthur soupira et prit une cuillère.
— Allez, ça ne peut pas être pire que la malédiction…
Il avala une bouchée. Instantanément, son visage devint rouge vif, et de la fumée commença à sortir de ses oreilles.
— JE… VAIS… MOURIR… ! hurla-t-il avant de tomber au sol.
Le pâtissier éclata de rire.
— Magnifique ! La Boulette a fait ses preuves ! Vous passez à l’épreuve suivante, grâce à votre… résistance douteuse.
Deuxième Épreuve : Le Flan du Jugement
Sur une nouvelle table apparut un gigantesque flan qui ondulait comme une méduse.
— Vous devez battre le Flan du Jugement dans un duel d’éloquence, déclara le pâtissier.
Arthur cligna des yeux.
— On doit faire quoi, exactement ?
Le flan émit une voix grave et menaçante.
— MORTELS, VOUS OSER DISCUTER AVEC MOI ? DÉFENDEZ VOTRE HONNEUR !
Suzette, toujours trempée, se redressa.
— Très bien ! Moi, Suzette, Sorcière des Bulles, suis prête !
Le flan commença à débiter un flot de répliques absurdes.
— JE SUIS PLUS LISSE QUE VOTRE ÂME ! VOUS ÊTES INDIGNES DE MES COURBES PARFAITES !
Suzette fronça les sourcils.
— Peut-être, mais au moins, je ne tremble pas comme une gelée chaque fois qu’on me touche !
La foule invisible de la forêt éclata de rires imaginaires.
Arthur, inspiré, ajouta :
— Et au moins, nous, on ne finit pas avec une cuillère dans le ventre après chaque repas !
Le flan, vexé, se mit à vibrer furieusement avant d’exploser en une pluie sucrée.
— Vous avez gagné… pour cette fois… murmura-t-il avant de disparaître.
Dernière Épreuve : Le Gâteau Colossal
Pour la finale, le pâtissier fit apparaître un énorme gâteau de mariage, aussi haut qu’une tour.
— Votre dernière épreuve : manger ce gâteau en moins de cinq minutes !
Arthur et Suzette échangèrent un regard paniqué.
— C’est impossible ! cria Arthur.
— Rien n’est impossible, dit Suzette avec détermination.
Avec une coordination digne des plus grandes équipes de compétition culinaire, ils se mirent à dévorer le gâteau. Suzette utilisait son balai pour découper des parts, tandis qu’Arthur utilisait des rouleaux de papier pour les transporter.
À la dernière seconde, ils avalèrent la dernière bouchée.
Le pâtissier éclata en sanglots.
— VOUS AVEZ RÉUSSI ! Jamais personne n’avait terminé le Gâteau Colossal… Vous êtes dignes de quitter cette forêt !
Un cadeau inattendu
En récompense, le pâtissier leur offrit une étrange boîte en sucre contenant un indice pour leur quête.
— Voici un fragment du Rouleau Divin, dit-il. Utilisez-le avec sagesse.
Arthur soupira, portant la boîte sous son bras.
— Encore un fou de plus… Mais au moins, on avance.
Suzette éclata de rire.
— Et maintenant, on sait que tu es plutôt doué en duel d’éloquence contre des desserts.
— Ça, c’est une compétence que je ne voulais pas acquérir…
Ils quittèrent la Forêt des Délices, prêts pour la prochaine étape de leur aventure absurde.
Chapitre 7 : Le Village des Égouts et la Révolte des Rats Élégants
Après avoir quitté la Forêt des Délices, Arthur et Suzette traversèrent un paysage marécageux, où une odeur nauséabonde dominait tout.
— Sérieusement, murmura Arthur en se pinçant le nez, est-ce qu’on peut avoir une étape de cette quête qui ne pue pas littéralement ?
Suzette, agitant une bulle parfumée autour d’elle pour masquer l’odeur, haussa les épaules.
— La carte dit qu’on doit traverser… euh… « Le Village des Égouts ». J’ai un mauvais pressentiment.
Ils ne tardèrent pas à arriver devant un ensemble de maisons construites à même des conduites géantes d’égouts. De petites pancartes humoristiques parsemaient le chemin, affichant des messages comme « Ici, ça coule de source » et « Bienvenue à Ratropolis ! ».
Arthur fit une grimace.
— Je parie que ce n’est pas une destination touristique très prisée Sa pue l'embrouille..
L’accueil glacial des habitants
En entrant dans le village, ils furent immédiatement entourés par des dizaines de rats anthropomorphes habillés comme des nobles du XVIIIe siècle. Certains portaient des perruques poudrées, d’autres tenaient des cannes incrustées de faux diamants, et tous affichaient une mine hautaine.
— Mes chers amis, dit l’un des rats en ajustant son monocle, qui êtes-vous pour oser troubler notre sérénité ?
Arthur, abasourdi, répondit :
— Attendez… des rats… en costumes ?
Un autre rat, portant une redingote, éclata de rire. ( redingote ses une veste de noble de riche de mec qui pue l'oseil le cash OH oui la moula )
— Oui, nous sommes la haute société de Ratropolis. Maintenant, répondez à la question, gueux !
Suzette prit la parole, essayant de garder son sérieux.
— Nous sommes des voyageurs en quête du Mont Bidet. Nous cherchons le Rouleau Divin.
Les rats échangèrent des regards méprisants.
— Le Mont Bidet ? fit le rat au monocle. Ridicule ! Ce n’est qu’une légende. Mais si vous voulez notre aide, vous devrez d’abord prouver votre valeur.
Arthur soupira.
— Pourquoi ça ne m’étonne pas… Qu’est-ce que vous voulez ?
Le rat au monocle pointa une griffe dramatique vers une immense structure en forme de tour au centre du village.
— La Tour de la Saleté. Elle est occupée par un tyran qui prétend être notre roi. Nous, la noblesse éclairée, sommes déterminés à le destituer. Mais… nous n’avons pas envie de nous salir les pattes.
— Vous voulez qu’on fasse le sale boulot, c’est ça ? dit Arthur en levant les yeux au ciel.
— Exactement, répondit le rat avec un sourire satisfait.
L’ascension de la Tour de la Saleté
Arthur et Suzette se dirigèrent vers la tour, où une odeur encore plus terrible les accueillit.
— Si je sors vivant de cette aventure, je veux un spa de luxe et un abonnement à vie aux parfums, grommela Arthur.
À l’intérieur, ils découvrirent une série de pièges absurdes. La première salle était remplie de savonnettes glissantes, où chaque faux pas les envoyait dans une piscine de boue.
— Qui a conçu ça ?! hurla Arthur en se ramassant pour la troisième fois.
La deuxième salle les obligea à résoudre une énigme absurde posée par un rat automate géant :
— Quel est l’animal préféré d’un rat noble ?
Arthur fronça les sourcils.
— C’est quoi cette question débile ?
Suzette haussa les épaules et tenta :
— Un… humain, peut-être ?
Le rat automate s’inclina et ouvrit la porte suivante.
— Félicitations, fit-il d’une voix monotone. Vous avez l’esprit d’un aristocrate.
— Génial, dit Arthur, les dents serrées.
Le Roi Rat et la Révolte
Enfin, ils atteignirent le sommet de la tour, où le soi-disant roi les attendait : un énorme rat obèse, coiffé d’une couronne en fromage, installé sur un trône fait de canettes de Pepsi rouillées.
— QUI OSE DÉFIER LE ROI RAT ?! rugit-il en frappant son sceptre — une cuillère en plastique.
Arthur croisa les bras.
— Écoutez, votre majesté, on n’a rien contre vous, mais vos sujets veulent que vous dégagiez.
Le roi éclata d’un rire tonitruant.
— Jamais ! Je suis le maître de ces égouts ! Si vous voulez ma couronne, vous devrez me vaincre dans…
Il pointa un doigt dramatique vers eux.
— UN DUEL DE DANSE !
Arthur cligna des yeux, incrédule. ( incrédule veut dire n'en crois pas ses yeux )
— Vous plaisantez, là ?
Mais déjà, des spots de lumière s’allumaient, et une musique funky du nom de vas-y Franky ses bon résonnait dans la pièce.
Le roi se leva et commença à bouger, exécutant des mouvements improbables pour une créature aussi massive. Suzette, fascinée, murmura :
— Il a le rythme dans la peau…
Arthur se résigna et monta sur la piste de danse.
— Très bien, dit-il. Prépare-toi à voir des mouvements que même toi, tu n’as jamais imaginés.
La bataille fut intense. Arthur, malgré sa maladresse légendaire, réussit à enchaîner des pirouettes ridicules des pet violent et des mouvements improbables, déclenchant des éclats de rire chez Suzette.
Finalement, le roi, à bout de souffle, s’effondra sur son trône.
— Je… je cède ! fit-il, essoufflé.
Il ôta sa couronne et la tendit à Arthur.
— Prenez-la… et partez !
Une récompense inattendue
De retour dans le village, les rats nobles les accueillirent avec des acclamations exagérées.
— Vous avez libéré Ratropolis de son tyran ! proclama le rat au monocle.
Ils leur offrirent une récompense étrange : un fromage doré incrusté d’un fragment du Rouleau Divin.
— Sérieusement ? Un autre fragment dans une absurdité pareille ? dit Arthur en prenant l’objet.
— Parfait pour une fondue, ajouta Suzette en riant.
En quittant le village, Arthur lança un dernier regard vers Ratropolis.
— Si jamais je reviens ici, ce sera trop tôt.
Suzette éclata de rire.
— Allez, il reste encore six péchés à affronter. Qui sait ? Peut-être que le prochain sera encore pire !
Arthur leva les yeux au ciel.
— Oh, je n’en doute pas une seule seconde…
j'adore cette série sérieux mdr hâte de travailler encore plus pour la suite le rap du chapitre 5 mdr j'en ai valider 5 mais ses lui que j'ai préférer pour le chapitre 6 la couleur violet ses quand le chef de l'enfer gourmandise hurle mdr sa colle bien et le jaune ses pour le flan psk un flan c jaune mdr c pas sorcier le bleu pour l'eau quand elle mange le truc épicer de fou sa passe BIENGGG petite image du sublime lord Vanity le magnifique avec le chef de l'enfer du chapitre 6 ! si tu a aimer dis le moi mdr ! nombre de chapitre total ? 10 ? 20 ? 30 ? plus ? ont verra bien ahah tous en haut ses Suzette et Arthur sur la première photo

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