La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 Péchés Chapitre 29-31

Publié le 30 juin 2025 à 18:31

La Quête des Trônes Infernaux : La Malédiction des 7 péchés Arthur et Suzette ainsi que Cornelius Et Vanir !!! 

Chapitre 29/70 – L’Affrontement : Ténèbres contre Absurdité !

L’auberge semblait plongée dans une torpeur épaisse. Le silence régnait, uniquement brisé par les crépitements d’un feu mal entretenu.

Des ombres dansaient le long des murs, dessinant des formes étranges, presque vivantes. Le temps à l’intérieur semblait figé : un air tiède, presque étouffant, comme si l’atmosphère elle-même retenait son souffle.

Pendant que Suzette et Vanir exploraient le sinistre manoir, Mr Hyde prétexta une absence. Il s’éclipsa en silence, ses pas ne faisant aucun bruit sur le parquet grinçant.

Seul restait Cornelius, maître de l’absurde, roi autoproclamé du charisme surnaturel, déterminé à tirer les choses au clair.

Et Cornelius, comme tout homme mû par la classe pure, ne perdit pas une seconde. Il s’élança dans les couloirs avec l’assurance d’un dieu grec à la conquête d’un buffet.

Chaque pièce traversée dégageait une ambiance différente. Dans l’une, le froid était si mordant qu’on aurait cru y croiser un pingouin armé d’une écharpe.

Dans l’autre, l’air était chaud, moite, avec des relents de moisissure, comme si l’humidité avait élu domicile depuis des années. Les murs transpiraient littéralement.

— « Hah… Ce parfum d’humidité rance… Je reconnais cette senteur ! C’est celle du mystère… Et du linge sale non lavé depuis 1832. »

Cornelius, imperturbable, écarta rideaux et tapisseries, renversant parfois des objets sans le moindre scrupule. Il finit par entrer dans une pièce où le temps semblait suspendu.

L’éclairage y était étrange : la lumière vacillait, comme si la réalité elle-même hésitait à éclairer cet endroit.

Au fond de la pièce, un vieux miroir trônait, taché de sang séché. Des éclats rouges ternes s’étendaient en toiles filantes sur la surface fissurée. Cornelius, tel un paon en pleine parade, s’en approcha.

— « Hmmm… Miroir, mon beau miroir… Qui est l’homme le plus absurde et sexy de tout le royaume ? »

Il s'observa longuement, passa une main dans ses cheveux avec un sourire carnassier.

— « Oh… Toi t’es pas prêt pour ce reflet. Damn Cornelius, tu dégages une aura… légendairement charismatique. Ce regard… Ce menton carré… Ce torse… J’en tomberais presque amoureux de moi-même. »

Mais alors qu’il plissait les yeux pour admirer ses propres sourcils à l’angle exact de la perfection, quelque chose attira son attention.

Dans le reflet… Un deuxième visage.

Un masque. Noir. Sinistre. D’un noir si profond qu’il semblait aspirer la lumière. Un rictus figé. Froid. Inhumain. Et surtout… ce masque se tenait derrière lui.

Mais en se retournant : rien.

Cornelius écarquilla à peine les yeux, puis explosa de rire.

— « OOOH OUI ! Voilà ce que j’attendais ! Des frissons, du mystère, du VRAI théâtre dramatique ! Pas une comédie de sous-elfe à deux pièces ! »

Il colla presque son visage au miroir, un sourire éclatant plaqué sur ses lèvres.

— « Tu me regardes ? Alors regarde bien, mon gars. Car ici, dans ce monde absurde… C’est MOI le protagoniste. »

Il ricana comme un roi fou en fixant le masque dans le miroir.

Quelques minutes plus tard, un craquement de bois retentit derrière lui. Lent, lourd, presque cérémoniel. Hyde était de retour. Il entra dans la pièce comme une ombre qui aurait appris à marcher.

Sa voix glaciale, sombre et huileuse, s’éleva.

— « Vous avez touché à mes affaires, Cornelius ? »

Cornelius ne se retourna pas immédiatement. Il laissa planer le silence. L’atmosphère devint électrique. L’air vibrait entre les deux. Deux forces que tout oppose : l’absurde contre les ténèbres.

Puis, avec un calme insolent et une prestance théâtrale, Cornelius se tourna lentement… et déclara d’un ton profond et assuré :

— « Je t’attendais. »

FIN DU CHAPITRE 29


Chapitre 30/70 – Le Duel des Contraires : Absurdité vs. Abîme

Un silence pesant régnait encore dans la pièce lorsque Hyde fit son entrée. L'air vibrait comme avant un orage, chargé d'électricité et de tension. Les ombres semblaient fuir sa silhouette, glissant sur les murs comme des rats quittant un navire maudit.

Cornelius, face au miroir, éclata soudainement dans une série d’applaudissements théâtraux.

— « SPLENDIDE ! Je dois dire… ton entrée est une œuvre d’art ! Le drame, l’ombre, le silence sinistre… on dirait que la mort elle-même émane de ta personne ! Tu es un véritable acteur, Hyde ! Non… devrais-je dire Jekyll ? »

Il fit une petite révérence face au miroir, le regard brillant d’ironie et de défi. Son reflet, cependant, n’était plus tout à fait le sien.

Une ombre s’étendait derrière lui, et son propre visage semblait se déformer dans le miroir, révélant un Cornelius aux traits graves, presque inhumains. L’absurde… avait un visage plus sérieux qu’il n’y paraissait.

Hyde s’avança d’un pas, un sourire cruel aux lèvres.

— « Tu parles trop. »

Puis, d’un geste sec, il fit apparaître deux orbes flottantes. Chacune palpitait comme un cœur malade, vibrant de magie sombre.

— « Voici la preuve que je ne plaisante pas, Cornelius. Dans cette sphère, ton ami Arthur. Perdu dans le sous-sol. Apeuré, faible. Et ici… Vanir et Suzette. Piégés dans une pièce inversée. Leurs pas flottent au plafond, comme leurs espoirs. »

Les images étaient claires, nettes. Arthur recroquevillé, fixant une horde d’araignées. Vanir et Suzette se battant contre une gravité inversée, leur monde retourné.

— « Je te laisse deux choix. » déclara Hyde en avançant d’un pas, son ombre dévorant la lumière. « Soit je tue tes amis et tu me rejoins.

Accepte les ténèbres, deviens mien. Soit… tu refuses. Et je commence par te tuer. Puis je fais de même avec eux. »

Cornelius resta un instant silencieux. Puis il rit. Un rire sec, presque nerveux.

— « Je ne m’en fais pas pour Vanir… Ce type est plus tordu que ce manoir. Et Arthur ? Ce gamin peut te surprendre. Il a peut-être encore du lait derrière les oreilles, mais il a du feu dans les tripes. »

Il plissa les yeux, fixa Hyde avec une intensité rare.

— « Mais dis-moi, mon cher… As-tu seulement autre chose qu’une grande gueule ? »

D’un geste rapide, Cornelius dégaina son sabre. L’arme vibra d’une énergie noire, presque maléfique, bien loin de l’absurde habituel.

Le métal semblait absorber la lumière, et une onde d’énergie se propagea dans la pièce, soufflant les chandelles d’un seul coup.

Hyde sourit lentement. Il leva les mains, et enfila son masque noir. Son corps se redressa, son aura se transforma, et son rire devint inhumain.

— « Tu veux jouer ? Alors viens, pantin grotesque. Approche, et regarde la vraie horreur droit dans les yeux. »

Une bourrasque secoua les murs. Le miroir éclata. Le plafond grinça sous la pression. L’aura des deux hommes s’entrechoqua. L’air vibrait, se tordait. Le sol craqua. Dehors, le ciel s’assombrit.

Le tonnerre explosa dans les cieux, un éclair frappa tout près, faisant trembler les fondations de l’auberge.

Cornelius écarta les bras, comme s’il accueillait la fin du monde.

— « Laisse-moi t’apprendre une chose, Jeckyll… Quand l’absurde frappe, même les dieux changent de trottoir ! »

Jeckyll répliqua dans un murmure glacé :

— « Et moi, je suis l’abîme qui avale les rires. »

Leurs regards se croisèrent. Le combat allait commencer. Le monde retint son souffle.

FIN DU CHAPITRE 30


Chapitre 31/70 – L'Éveil d'une Fureur Blanche

Arthur était encore dans cette cellule lugubre, entouré des autres captifs. L'air était moite, chargé d'une humidité insupportable. Les murs suintaient comme si le bâtiment lui-même pleurait.

Malgré l’angoisse, il tentait de rassurer tout le monde, parlant d’un ton calme et léger, lançant quelques blagues maladroites pour garder leur moral à flot. Il savait que la peur pouvait tuer plus sûrement qu’une lame.

Mais soudain…

Arthur s'arrêta net. Son regard changea. Il sentit… quelque chose. Une onde. Une puissance. Deux auras colossales, si opposées qu'elles semblaient menacer de déchirer le monde lui-même.

L’une brillait d’une absurdité presque comique, l’autre… une noirceur si pure qu’elle glaçait l’âme.

Un frisson remonta le long de son échine.

— « Cornelius… » murmura-t-il. « Il affronte quelque chose de… monstrueux. »

Il serra les poings. Il savait. Il le sentait. Si ces deux entités se battaient, quelqu’un allait mourir. Et il devait les rejoindre. Il DEVAIT y être.

C’est alors que la porte de la cellule s’ouvrit.

Dans un grincement sinistre, une silhouette entra. Petite. Fragile. C'était… un enfant ? Il avait une corne unique sur le front, des yeux étranges : l’un noir, l’autre rouge écarlate. Et pourtant… son aura n’était pas celle d’un enfant.

— « Je me présente, » dit-il d'une voix froide et mature. « Je suis Asvarok. Fils du Néant. »

Avant qu'Arthur ne puisse réagir, Jixy – le petit garçon de 9 ans – se mit devant lui, le poussant en arrière pour le protéger.

— « Non, reste derrière ! » cria Jixy.

Mais à peine eut-il parlé…

Un sifflement. Un craquement d’air. Puis… un trou noir se forma.

Et Jixy fut coupé en deux, désintégré dans un éclair d’énergie sombre et affamée. Son cri fut interrompu net. Le sang jaillit, éclaboussant le visage d'Arthur.

Le monde s'arrêta.

Arthur resta figé. Du sang. Chaud. Épais. Dans sa bouche. Sur ses joues. Dans ses yeux. Les larmes montèrent, brûlantes, alors que ses dents grinçaient de rage.

Il se souvenait de cette promesse, faite à peine quelques minutes auparavant : « Je te sortirai d'ici. »

— « JIXY ! » hurla-t-il, brisant le silence d’un cri de désespoir.

Puis… tout changea.

Son regard, habituellement farceur, doux, presque idiot… se transforma. Un feu s’y alluma. Un feu ancien. Primordial. Celui de la haine. Du deuil. De la vengeance.

— « Je vais te tuer. » dit-il dans un murmure si grave qu’il fit vibrer les murs. « RESTEZ TOUS DERRIÈRE MOI ! »

Une aura blanche se forma autour de lui, crépitante, vibrante. Elle illuminait les murs gris de la cellule comme si un soleil venait de naître dans l’enfer.

Asvarok sourit, amusé.

— « Un déchet de moins. Qui es-tu donc, ma prochaine victime ? Je suis ici sous ordre du Boss pour tous vous tuer. Pas de bol pour vous… Vous êtes tombés sur la Destruction incarnée. »

Arthur ne répondit pas tout de suite. Il marcha. Lentement. Chaque pas résonnait comme un glas. Puis, avec une voix profonde et posée :

— « Moi ? Je suis juste un gars qui a promis. Et crois-moi, t'as touché au mauvais gamin. »

Asvarok tressaillit. Un frisson, malgré lui. Il tenta de le cacher, mais c'était trop tard.

— « Tch… intéressant. »

En une fraction de seconde, Arthur disparut.

Et réapparut devant Asvarok.

Son ancienne baguette s’était métamorphosée en un gant magique, pulsant d’énergie blanche. Il leva son bras et…

BOOM !

Un coup, plus rapide que la foudre. Le poing d’Arthur frappa Asvarok en pleine mâchoire.

Le gardien traversa dix murs, emporté à une vitesse hallucinante. Chaque impact fit trembler le souterrain. Le sol s'effritait sous la violence de l'explosion.

Arthur, hurlant, relâcha toute sa douleur :

— « TU L’AS TUÉ !!! JIXY !!! TU VAS PAYER ! »

Ruby, horrifiée, s’approcha, tremblante.

— « Arthur… Ce garçon… Ce n’est pas un simple gardien. C’est Asvarok… une entité si dangereuse qu’ils l’ont scellé dans le corps d’un enfant pendant 10 000 ans. Il n’est relâché qu’en cas d’extrême urgence. Sa personnalité est si destructrice qu’il efface tout autour de lui sans réfléchir. »

Arthur, les poings encore fumants, se tourna lentement.

— « Il a… un point faible ? »

— « Oui… mais… il n’y en a qu’un. La lumière du jour. Il est invincible la nuit. Et… il est 21h. »

Le silence tomba à nouveau.

Arthur regarda le plafond, les larmes toujours mêlées au sang sur ses joues.

— « Alors ça veut dire que pendant 9 heures… il sera à sa pleine puissance ? »

Il serra les dents, puis leva la tête, une flamme nouvelle dans les yeux.

— « On a besoin de Suzette. Elle seule peut lui tenir tête… »

Et alors qu’il se tournait vers les ténèbres, prêt à remonter pour affronter le chaos…

Il murmura :

— « Attendez-moi… Cornelius… Je suis en route. »

FIN DU CHAPITRE 31


Évaluation: 5 étoiles
1 vote

J'ai mis du temps j'avoue pour les dernier chapitre en particulier ses 3 la j'espère que sa ta plus pour ma part Asvarok je l'ai inventé pendant que j'étais au WC entrain de chier je suis sérieux mdr Jai pensé a se personnage sa personnalité sa taille son design et tous mdr d'un coup sa m'es venue et je me suis dis ses vrai sa pourrais être incroyable que chacun a son boss a affronté !  j'ai ajouté de l'humour des moment épic je me suis bien amusé le chapitre 30 a étais effacé et réécrit 4 Foix et le chapitre de arthur étais carrément différent ! j'espère  que j'ai fais les bon choix pour ma part voici  se qui va se passer par après ! déjà l'histoire a 5 arc ont et au 2eme de plus les prochain chapitre sera sur vanir et suzette j'en ferais 3 uniquement pour eux  ( niveau puissance si je doit dire des nombre voici un classement ( petit spaul des dinguerie a venir ! )

Arthur aura blanche 2800 ( forme suivante secret ????? )

Asvarok 10000 

Cornelius Aura Noir 3900 forme suivante ( Maitre de L'absurde éveil ????? ) 

Jeckyll/Mrhyde forme actuellement forme 1  5000

Suzette ????? inconnue 

Vanir forme basic 3200 ( forme final  ????? )

Mefhisto  4500

Bon sur ceux a la prochaine ! 

Dans la suite de l'aventure de nos héros ! Suzette le temps presse va aidé  Arthur

Cornelius tien Bon ont arrivé !

Foutue pièce de Merde Vien te battre Abrutie ! *@*

Vous irez Nul Part ............................................................................................

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